GRAND TOURNOI 6

CLASSEMENT

par Philippe Jossua

 

Voici donc les résultats du GT n°6 (sensibilité en émission), et comme d’habitude, pour ménager un suspense qui, je le devine, devient de plus en plus insoutenable chez les plus cardiaques d’entre vous (attention, on ne triche pas, hein, on ne lit pas le GT à l’envers…), je commencerai par les plus mal classés pour évoluer vers les meilleurs.

 

 

Le classement

 

 

La daube en chef du GT6 !
 

Taraaa tariii pouet pouet, place au héros qui a eu l’honneur de remporter ce titre très prisé de mobile le plus nul d’un GT :

*Le Sendo D800 !

J’avais trouvé ce mobile en Italie il y a exactement 1 an. Il a détenu pendant quelques temps le titre de mobile GSM le plus léger du monde (68g).
Il n’est pas le seul à avoir obtenu la note éliminatoire de 0 (coupure, impossibilité de tenir la comm. pendant la minute de durée du test), mais il bat à plates coutures ses concurrents directs en terme de rapidité de coupure, puisqu’elle fut à chaque fois quasi-immédiate, et nous avons renouvelé 3 fois le test !

   
   
 
   

Les éliminés (note : 0)

     

Il y a du monde dans cette catégorie, malheureusement.

       
     

Commençons par les trois désastres exotico-coréens, les illustres inconnus que voici :

       
     

*LG 510W. Un bi-bande bivalve écran monochrome, tout ce qu’il y a de plus classique, assez fin et élégant, aux fonctions relativement basiques pour l’époque actuelle.

       
     

*TCC Q285. Plus séduisant sur le papier : tri-bande bivalve sans antenne externe, écran 4096 couleurs.

       
     

*Sewon SG-2000. Bi-bande. Il ressemble à un Samsung A300 que l’on aurait coupé en 4, ce qui fait de lui le mobile le plus petit du marché. Un petit cube minuscule.

       
     

Point commun de ces 3 vedettes : sensibilité épouvantable (les plus rapides à couper, après le Sendo), à n’utiliser qu’au pied d’une antenne.

       
     

Dans cette catégorie se trouve également le *Benefon ESC !, mobile GSM/GPS. Cela m’a étonné, d’autant plus qu’un autre mobile de la marque (le Benefon Q) s’est montré nettement plus brillant dans cet exercice.
L’ESC ! a une autonomie faible (2 jours, voire beaucoup moins si l’on se sert du GPS), il est grand et lourd, et une fonction GPS (cartes à télécharger sur le net, payant) moins pratique à utiliser que sur un classique GARMIN.

       
 

Les 2 représentants de la marque Panasonic (*GD75 et *GD95) n’ont pas réussi à se sortir de cette catégorie, malheureusement. Cela me désole un peu, car ce sont des mobiles que je trouve personnellement agréables à utiliser, conviviaux. Et ergonomiques. Et solides. Et fiables. Mais, et c’est une constante depuis le best-seller GD90, peu sensibles.
A leur débit : pas d’IR, de Bluetooth ni de Gprs, ce ne sont pas des ultra communicants.

   
 

Viennent à présent mes « copains » de toujours, les redoutables Sagem, les champions de la sensibilité, selon une certaine rumeur publique…
Les *MY 3052 et *MY-X5.
Tous deux Gprs. Tous deux plantés avant la fin du test.
Dommage pour le MY-X5, produit plutôt novateur chez Sagem, avec une esthétique réussie, un écran couleur, et l’IR, enfin…

   
 

Les Samsung, maintenant. Le *A300 n’a pas pu maintenir la comm., et cela m’a plutôt étonné car à l’usage, je le trouve correct. Peut-être les conditions spécifiques du test ne lui ont pas convenu (indoor), mais c’est la règle.

   
 

Autre éliminé de la marque, et cela m’étonne moins car à l’usage, c’est pour moi le plus mauvais des Samsung : le *N400, le grand champion des tests de sensibilité du plus vendu des magazines de mobiles en France…
Il est doté d’une fausse antenne (ce n’est qu’un vulgaire bout de plastique) extractible automatiquement à l’allumage, cela fait très « tendance », et c’est fatigant (très) à la longue. Ecran bleu électrique.

   
 

Traversons l’Atlantique pour arriver à présent sur les terres de Motorola. Le *V66 et le très design *V70 ont été à la hauteur de leur réputation, c'est-à-dire nuls.
Je trouve le V70 très à mon goût esthétiquement, mais pas pratique du tout (mode d’ouverture du clapet), l’écran en négatif (texte blanc sur fond noir) est peu lisible et trop petit, et l’absence d’IR et de Bluetooth sur un produit Gprs m’énerve.
L’ergonomie des menus ne me convient pas, mais c’est peut-être une question d’habitude.
J’ai eu toutes les peines du monde à convaincre Olivier de faire des tests de recoupement et de vérification avec les mobiles de cette marque qu’il appelle « Motorodaube », mais force est de constater qu’il n’a pas forcément tort…

   
 

Grosse déception en revanche, en ce qui concerne le *Siemens sl45i, que nous n’avons pu faire autrement que de classer dans cette catégorie, malgré pas loin d’une dizaine d’essais. Le sl45 me paraissait assez performant en sensibilité, mais je l’ai revendu récemment (sacrilège !) pour le remplacer par ce sl45i d’origine (on peut tout aussi bien flasher un sl45 d’origine, sur le web, pour le rendre « i »), que je n’ai que peu utilisé. Il sera de toutes façons nécessaire, à l’avenir, de compléter ce GT par des essais en outdoor, sur une autre bande de fréquence (1800, parce que pour le 1900, ça va pas être simple…), et sur un autre réseau.

Je suis donc très déçu, d’autant plus que pour moi, le sl45i reste le plus beau, le plus élégant mobile jamais fabriqué jusqu’à ce jour.
Mais ce n’est pas notre propos aujourd’hui, je vous le concède.

   
 

Bien.
J’ai gardé le meilleur pour la fin. Vous avez certainement remarqué que dans cette catégorie « de la honte », je n’ai pas encore cité certaines marques, des plus connues…
Vous ne trouverez pas ici, pour l’instant, de mobiles de marque Nokia, Alcatel, Trium, Philips ou Sony.

Mais, MAIS voici des Ericsson, oui, vous avez bien entendu des ERICSSON, ou des E///, comme vous préférez. MA marque, mes chouchous, mes bébés d’amour, ceux pour lesquels j’ai constitué un stock d’IAT-10 et de batteries, ceux que je collectionne par dizaines, par centaines, par milliers…mais je m’emporte.

   
 

Donc, à mon plus grand désespoir, voici un *T65, version R3A010.
Ce n’est pas mon préféré des E///, loin de là. Un Gprs sans IR ni Bluetooth, vous savez ce que j’en pense. Sa batterie intégrée, même si elle peut être changée dans un centre agréé E///, ne me paraît pas être une solution viable. Les premiers T65 sortis sur le marché avaient un problème de HP (grésillements lorsque l’éclairage de l’écran était en marche), point à surveiller étroitement lors d’un achat.

   
 

Et maintenant, abordons un problème délicat posé par le modèle phare de la marque suédoise, le *T68m/T68i.
Ont été testés ce week-end trois T68 :
2 T68 d’origine m (un gris et un gold)
1 T68 d’origine i (bleu clair)
Ces trois T68 ont été flashés avec la même version, la R2E006, les deux T68m d’origine ayant donc été convertis en « i ».
Après une multitude de tests croisés en tous genres, deux de ces trois exemplaires n’ont pu éviter de se retrouver classés ici, obtenant un zéro pointé : le T68i d’origine et le T68m gold. Pas forcément étonnant vu la mauvaise réputation de ce mobile (et des nouveaux Sony-Ericsson à antenne intégrée, plus généralement).
Ce qui l’est plus, c’est que le troisième larron, le T68m d’origine, gris, s’en sort beaucoup mieux, et je confirme qu’à l’usage, il est assez performant.
Cela ne fait que renforcer l’idée que l’achat d’un mobile relève parfois du plus grand des hasards, concernant sa sensibilité, de son micro et de son HP. De grandes disparités existent entre différents exemplaires d’un même modèle, et s’il existe une « ligne directrice » (tel modèle en règle générale assez sensible, tel autre peu sensible), il peut arriver que certains exemplaires s’en éloignent, et on peut avoir de mauvaises OU de bonnes surprises.

Quoiqu’il en soit, et au-delà de ce problème de sensibilité, l’E/// T68 est un modèle de qualité exceptionnelle, rassemblant ce qui se fait de mieux actuellement en terme de fonctionnalités : Gprs 4+1, IR, Bluetooth, Wap, e-mail client, MMS, répertoire interne de 510 entrées ventilées, écran couleur etc., etc.…
Le tout emballé dans un petit paquet de 80 grammes, pas mal.
 

   
 

Bon, et bien, alors là, comment dire, euh, voilà, euh voicileR520mavecantenneiat10baissée.

Nous trouvons ensuite le Nok…comment, vous n’avez pas compris ?
Hélas…Et oui, Christophe, je suis aussi malheureux que toi, mais il faut bien classer ici même, avec la note de 0, notre cher *Ericsson R520m avec antenne IAT-10 baissée, v R4A008.
Pour ceux qui n’auraient pas tout suivi, le R520m est un E/// qui n’est jamais sorti officiellement en France, alors qu’il s’agit probablement du meilleur mobile jamais fabriqué, et je pèse mes mots. J’ai été un des premiers à faire son acquisition en février 2001, un T.U. (Trial Unit, acheté aux Etats-Unis au prix inavouable d’un TEMS…). Ont suivis 6 autres exemplaires, certains en finition copper/silver (argent/bronze), d’autres en silver (argent), peut-être plus seyant, avec son clavier assorti. Comme il est resté introuvable en France (sauf en import chez quelques excellents fournisseurs tels World Gsm, par exemple), il fallait le commander à l’étranger (Expansys, mPhone, en Angleterre), ou l’acheter directement chez des commerçants de pays limitrophes que sont la Suisse, la Belgique, ou l’Italie.

Certes, sa taille est (relativement) imposante, surtout si l’on compare avec les tous derniers mini-mobiles apparus sur le marché.
Mais sa qualité sonore est fantastique (micro/HP), ses fonctionnalités aussi complètes qu’un T68 (avec HP mains-libres en plus, MMS en moins).
Il est extra-plat, la qualité de son écran monochrome, avec 4 niveaux de gris, est excellente, et son autonomie atteint facilement 5 jours en l’utilisant normalement.

Et surtout, il est possible de lui greffer la fameuse antenne haute sensibilité IAT-10, en accessoire d’origine Ericsson. J’ai été le premier à en parler sur le NG frtm en août 2000, faut bien se faire mousser un peu :
Google Search: "IAT 10"

J’ai utilisé avec bonheur cette antenne sur des E/// R320s, puis sur des T28, T39 et enfin R520m.
Lorsqu’elle est déployée, cette antenne garantit un confort d’utilisation réel, apporté par un gain de 4 à 8 dB selon les circonstances, Olivier vous en parlera certainement mieux que moi.

Par contre, lorsqu’elle est rentrée…malheureusement, malgré une vingtaine de test menés sur plusieurs R520m, avec d’autres IAT-10, à différents moments, la triste vérité s’est imposée à nous : le R520m muni de l’antenne IAT-10 en position rentrée n’a pas réussi à éviter la coupure avant la fameuse minute fatidique…
Très intéressant, vous verrez un peu plus loin qu’il s’est mieux comporté avec l’antenne d’origine, et vous pourrez lire, mais cette fois-ci beaucoup plus loin, qu’il en a été bien autrement avec l’antenne IAT-10 déployée…
Mais n’allons pas trop vite.

   
 

Même sanction pour l’Ericsson *T39 (vR4A007) avec antenne IAT-10 rentrée : 0, et avec antenne d’origine également. Celle-ci est plus courte que celle du R520m, se comporte donc moins bien qu’elle puisque le R520m avec antenne d’origine ne se trouve pas dans cette catégorie.
Le T39 est une alternative intéressante au R520m, de taille plus réduite, aussi plat, avec un clapet actif qui protège les touches, mais un écran plus petit.

C’est avec lui que nous terminons l’examen des recalés du premier tour.

   
  Tous les mobiles que nous allons dès à présent examiner ont été capables, avec plus ou moins de bonheur, de « tenir » la communication pendant la durée du test, de 1 minute environ.
Qu’ils en soient déjà félicités…
   
   
Les mauvais (note : 0+, 1-, 1, 1+ en uplink)

A partir d’ici, je signalerai aussi, en plus des notes en émission (Uplink, UL) attribuées par moi, les notes données par Olivier en réception (Downlink, DL).

   
 

Les plus mauvais des mauvais, classés dans cette catégorie, sont l’E/// *T29 (vR2A026), auquel j’ai donné la note de 0+ en UL, et Olivier 1- en DL. Le T29 est maintenant un téléphone bas de gamme aux fonctions plutôt basiques, son seul mérite est de ne pas avoir coupé pendant le test, et c’est un vrai miracle tant c’était absolument inaudible, que ce soit de mon côté ou celui d’Olivier.
Arrive ensuite l’E/// *T66 (UL : 1-, DL : 1+), v4.26, mini parmi les minis, beaucoup trop mini pour mes grosses paluches pleines de gros doigts boudinés.
Avantage pour les voyageurs, il est tri-bande. Mais son autonomie est la plus faible de tous les mobiles E///, pas de Gprs, pas d’IR, sa qualité sonore est médiocre, et le rétro-éclairage de son écran manque d’homogénéité. Existe en deux couleurs, gris et vanille-fraise.

   
 

Avec la note de 1 en UL et de 2 en DL se présente maintenant le Motorola T280. Il a fait partie du premier coffret Gprs commercialisé par Orange depuis le 22 novembre 2001. C’est à mon sens le Motorola le plus réussi, même si je sais que de faire cohabiter ces deux mots dans la même phrase (« Motorola » et « réussi ») doit donner des chaleurs à Olivier…
Il possède un port IR, bénéficie d’une qualité de construction plutôt rare chez Motorola (pas de craquements, grincements et autres bruits de fonctionnement aussi horripilants qu’inquiétants), et d’une excellente qualité sonore. Il m’avait semblé, à l’usage, qu’il était doté d’une sensibilité plutôt correcte, cependant le verdict du test est impitoyable : peut, doit faire beaucoup mieux.
 

   
 

Le Siemens *ME45 (v21), clone étanche du S45, pointe également le bout de son nez avec la note de 1 en UL, et de 3 en DL. Bilan de liaison déséquilibré, donc.
Là aussi, je suis déçu par une marque qui n’est pas à la fête lors de ce GT, alors que je trouve que les mobiles de l’équipementier allemand sont en général bons, intéressants, complets et novateurs.
De plus, il est possible de faire des màj logicielles directement sur le web, sur le site officiel Siemens, avec le câble qui va bien. Superbe initiative, dont devraient s’inspirer tous les autres fabricants.

Cela dit, si 3 en DL est une note correcte, 1 en UL, c’est mauvais, et comme pour tous les autres mobiles, plusieurs tests sont venus confirmer cela.
 

   
 

Avec la note de 1+ en UL apparaissent deux mobiles Samsung.
Tout d’abord le fringant *T100 (2 en DL), avant son magnifique écran couleur et ses sonneries polyphoniques des plus réussies…
Samsung fabrique, globalement, de bons mobiles, il est juste agaçant qu’aucun d’entre eux ne soit vraiment complet. Ils sont trop ciblés, soit design, soit high-tech, soit basique, soit « jeune », que sais-je encore, mais je ne vois pas bien ce que ça leur aurait coûté de rajouter au T100 l’IR et le Gprs, par exemple.
Bref, le T100 est un modèle rigolo et peu discret, surtout lorsqu’il se met à sonner, mais pas ciblé « pro ».
Et tant qu’à faire, puisque la sensibilité n’est pas son fort, pourquoi ne pas lui avoir enlevé son antenne externe, ce qui l’aurait rendu esthétiquement encore plus réussi ?

   
 

Dans le genre hyper ciblé dont je parlais tout à l’heure, il y a maintenant le *Samsung A400 (1+ en UL, 3 en DL). Celui-là, dans la logique Samsung, est destiné aux femmes, avec sa très intéressante fonction qui permet de calculer très exactement et très scientifiquement la date où il faut faire crac-crac sans protection, si on veut augmenter le nombre de bambins dans sa famille…
Remarquez, le A400 est le mobile de ma femme, son préféré, ce qui tend à donner raison aux responsables du marketing de chez Samsung, et à me faire passer pour un abruti qui n’a rien compris. Bon.

Ce A400 a l’IR, pas le Gprs et un écran monochrome.
Et une sensibilité très médiocre, même si c’est le meilleur des 4 modèles de la marque testés lors de ce GT.

   
 

Dans ces bas-fonds du classement, on trouve aussi le Motorola de service, le *V60 (1+ en UL, 2- en DL). C’est un V66 avec finition métal censée le rendre plus joli ( ?), plus lourd, et évidemment plus cher.
Selon une politique curieuse de Motorola, les v60 et v66 destinés au marché français sont dépourvus de la fonction Gprs, à cause soi-disant à cause du retard pris dans ce domaine par les opérateurs français…
Je rappelle que Sfr a commencé officiellement à commercialiser une offre Gprs en juin 2001, et Orange en novembre de la même année. Bot s’y est mis plus récemment.
Il doit sortir très prochainement (déjà vu en Italie la semaine dernière) un v60i, tri-bande et Gprs.
Pour en revenir à mon v60, il n’est que bi-bande mais bien Gprs, puisque importé de Suisse.
Le fait que le v60 s’en sorte mieux, ou plutôt moins mal, que le v66, tient du mystère puisque ce sont normalement strictement les mêmes produits, habillage excepté. Peut-être est-ce dû au facteur hasard inhérent à la fabrication du téléphone, mais quoiqu’il en soit, c’est ainsi.

   
  Un p’tit Ericsson encore dans cette catégorie, le *T20 (1+ en UL, 3 en DL), vR1A42, mêmes fonctions que sur un T29. Ecran vraiment trop petit, wapper dessus devient vite lassant.
   
  Je classerai également dans cette catégorie deux mobiles ayant obtenu une note un peu supérieure en UL, mais mauvaise en DL :
   
 

Le Motorola *Accompli 008, à qui j’ai donné la note de 2, mais Olivier lui a donné 1 en DL, la plus mauvaise note hors coupure.
Ce mobile n’a à l’heure actuelle plus aucun intérêt, si tant est qu’il n’en ait jamais eu…
Pour ceux qui n’utilisent un mobile que pour la transmission de la voix, il est gros, lourd, peu pratique avec son écran tactile qui exigera des possesseurs de gros doigts l’utilisation du stylet pour numéroter.
Pour ceux qui font de la transmission de données, il y a beaucoup mieux dans le genre actuellement, les Nokia 7650 ou Ericsson P800 (à la rentrée), voire un Nokia 9210i.
Son écran monochrome, de médiocre qualité, est trop pénalisant.
Donc Olivier a « saqué » cet Accompli, il vous expliquera ses raisons dans son compte-rendu (CR).

   
 

Pour clore cette catégorie, voici le premier représentant du premier fabricant mondial, le finlandais Nokia : le *9210 Communicator, v4.13 : 2- en UL, 1 en DL

Moi je l’aime bien celui-là, avec son remarquable écran couleur, il me rend de fiers services depuis plus d’un an, surtout lorsque je suis en déplacement. Il reçoit les faxs et permet de les lire directement sur l’écran (fonction zoom), gère les emails, navigue sur le web, gère les photos que je lui transmet par IR directement depuis mon Casio QV3000 (IR TRAN P), bref, il est complet, mais d’une lenteur parfois exaspérante.

Cela dit, même avec son petit bout d’antenne (de plastique ?) qui se déplie, c’est le moins sensible des Nokia testés dans ce GT, ce que je confirme également à l’usage.
Il fait nettement moins bien dans ce domaine que son prédécesseur, le communicator 9110.
Olivier vous confirmera dans son CR le pourquoi de sa note lamentable de 1.

   
   
Les « passables » (note en UL de 2-, 2, et 2+)

J’ai classé dans cette catégorie uniquement les mobiles qui ont obtenu en UL une des trois notes ci-dessus, sans tenir compte de la note attribuée par Olivier en DL, que j’indiquerai toutefois pour mémoire.
C’est pourquoi la lecture des deux CR est nécessaire à celui qui veut se faire une opinion complète de la manière dont s’est comporté tel ou tel mobile lors de nos tests.

   
 

Parmi les mobiles ayant obtenu 2- en UL, à tout Seigneur tout honneur, commençons par l’E/// *R520m muni de son antenne d’origine (4- en DL).
Cela a été un résultat fort inattendu pour Olivier et pour moi, et ce R520 a fait l’objet de plus de tests de recoupements que n’importe quel autre mobile.
Jusqu’à présent, les quelques tests sur le terrain menés par certains utilisateurs, dont moi, avaient permis de dire que l’antenne IAT-10 déployée donnait un gain certain par rapport à l’antenne d’origine, mais que l’antenne IAT-10 rentrée était au pire équivalente à l’antenne d’origine, voire un peu meilleure.
Et bien là, ce week-end, force est de constater que non.
Et les tests ont été menés, comme je l’ai écrit plus haut, sur plusieurs R520 ET plusieurs IAT-10.
Dans ce cas de figure (indoor, pièce de petites dimensions), l’IAT-10 s’est révélée moins performante que l’antenne d’origine.
Ce qui tend à énoncer l’axiome suivant : un utilisateur d’antenne IAT-10 DOIT utiliser son R520m (ou T39) avec antenne déployée, il doit prendre cette habitude en toutes circonstances.
Ce n’est pas un accessoire pour paresseux.

   
 

Avec 2-, on trouve le premier Alcatel, le *OT511 (3+ en UL). Voilà une marque qu’Olivier aime bien, il vous expliquera certainement ses penchants dans son CR, je suis pour ma part plus circonspect, surtout pour des problèmes de fiabilité (j’ai eu pas mal de problèmes de clapet ou de joysticks sur 501/701), et de couleur d’écran (ce rétro éclairage orange, beurk, j’y vois rien !).
Par contre, l’accès gratuit au netmonitoring par 000000* directement sur le clavier est un plus non négligeable pour certains.
Ce OT511 est petit, léger et fort compact, doté d’une bonne finition.
Son gros défaut, l’absence de répertoire interne, a été corrigé sur le récent OT512.
La qualité sonore du OT511 est excellente avec un volume maxi élevé.
Mains-libres de bonne qualité, et on l’a vérifié ce week-end, bien meilleur que sur un R520…
Bon, avec 2- en UL ça reste fort médiocre, même si la note d’Olivier est bien meilleure.

   
 

Avec la note de 2 en UL (et 4- en DL), re-voici le T68m gris, « upgradé » en i comme nous l’avons vu plus haut.
J’ai déjà abordé l’énigme que cela constituait, voire même la remise en cause sous-jacente de toute la signification de ces tests…
Mais ne nous laissons pas décourager pour si peu, mais force est de constater que mon T68m gris est exceptionnel par rapport aux autres T68, et dans la foulée, je décrète que mes T68m gold et T68i sont à vendre au plus offrant.

   
 

Voici maintenant le tout nouveau tout beau *Nokia 7650 (2 en UL, 2+ en DL), v3.12, que j’ai trouvé il y a 3 semaines en Italie, au prix « abordable » de 672 euros, alors même que certains exemplaires se vendent une fortune (1495 euros à la Fnac de Monaco, à 5kms de la frontière !).
Certes, il n’est pas en français (Italien anglais allemand), la version française sortant officiellement début septembre, aux dernières nouvelles.
Le 7650 possède un appareil photo numérique intégré (640x480), suffisant pour quelques photos souvenirs, mais pas plus.
C’est un mobile/PDA nouvelle génération, plus simple d’utilisation, plus intuitif qu’un 9210, par exemple. Mais avec moins de mémoire, également.
Son gros défaut est son autonomie très faiblarde (24h en utilisation mixte) avec sa batterie d’origine BLB2, la même que celle d’un 8310. Il existe une batterie compatible chez un accessoiriste, une 900mAh qui lui rajoute quelques heures d’autonomie en plus, je n’ai pas essayé.
De mon côté, la note de 2 n’est pas bien élevée, et Olivier vous expliquera dans son CR que le rendu de la voix est assez mauvais.

   
 

Chez Nokia, sont également classés à ce niveau les *5210 (2 en UL, 3 en DL), v5.13, et *6310i (2 en UL, 3 en DL), v4.07.
Le 5210 est le Nokia de plage, étanche au ruissellement. Plus pratique que le massif 6250.
Son thermomètre intégré n’est pas vraiment précis. Coques interchangeables. Verrouillage automatique du clavier. Dernier Nokia sorti à être « netmonitorisable » aisément, par IR et le programme « logomanager », par exemple. Car malheureusement, Nokia a verrouillé ce menu caché sur ses modèles les plus récents.
Le 6310i est la version tri-bande et java du 6310.
Serait-ce l’adjonction de la 3e bande 1900 ? En tous cas, la version « i »du 6310 se révèle moins sensible que la non « i ».

   
 

Voici une antiquité, le *Bosch 909DS, qu’Olivier a voulu tester par nostalgie, et puis aussi, je le soupçonne, pour goûter une fois encore au plaisir de sa qualité sonore exceptionnelle.
Ma note de 2 en UL est faiblarde, mais Olivier lui a attribué la note presque maximale de 4+ en DL !
Amour, quand tu nous tiens…

   
 

Avec 2+ en UL, nous arrivons au 2ème Alcatel testé, le *OT701 (4 en DL).
C’est globalement un bon produit, même si je n’ai personnellement jamais vraiment accroché, pour les raisons invoquées plus haut lors de l’examen du OT511.
Pour celui qui veut acheter français, voilà à mon sens le meilleur choix.

   
 

Voici maintenant le seul Sony de ce comparatif, le dernier d’avant l’accord de partenariat avec Ericsson : le *Z7 (2+ en UL, 4- en DL).
Meilleur que le fameux Z5, à la mauvaise sensibilité et à la qualité sonore déplorable. Sur ces deux points, le Z7 a bien progressé.
En contrepartie il est plus gros, et moins design que son devancier.

   
 

Pour finir avec cette catégorie, voici, et à ma grande surprise, et dans une belle égalité, les Philips *Xenium @ et *Fisio 820 (2+ en UL, 4 en DL).
Surprise, car les plus anciens Philips Génie et Xenium (non wap) prenaient régulièrement place tout en bas du classement de mes anciens GT.

Philips semble avoir redressé la barre avec ces deux modèles, le Xenium restant le plus autonome, et de loin, de tous les mobiles (une dizaine de jours sans forcer).
Mais il lui manque un répertoire interne et des fonctions un peu plus évoluées.

Le tout récent Fisio 820 est plus high-tech, avec la fonction Bluetooth (mais curieusement pas d’IR !), le Gprs, un répertoire interne, un écran couleur (de qualité médiocre, beaucoup trop pâle), et une autonomie en très nette baisse.
Et surtout, un placement des touches très particulier, qui nécessite un véritable apprentissage ne serait-ce que pour répondre à un appel ou raccrocher, accéder au menu, etc…
C’est comme tout, on s’y habitue, mais c’est tellement particulier qu’il est exclu de jongler entre plusieurs mobiles sans s’y perdre.

   
   
Les corrects (note en UL de 3-, 3 et 3+)

Les mobiles classés dans cette catégorie (et à fortiori dans la prochaine) donnent satisfaction quant au critère de sensibilité évalué lors de ce GT.
Certes, à 3- en UL, la qualité de la comm. était loin d’être parfaite, mais le sens du texte lu par Olivier devenait compréhensible, ce qui constitue déjà un petit exploit, étant données les conditions extrêmement limites dans lesquelles se sont déroulés ces tests.

   
  Avec la note de 3 en UL apparaissent les deux candidats de Trium.
   
 

Tout d’abord *l’Eclipse Gprs (4+ en DL), que j’ai trouvé en Italie. Je crois qu’il est aussi en vente en France en agence FT, exclusivement, mais je n’en ai jamais vu.
Attention chez Trium : à l’instar de Motorola, Trium s’amuse à sortir sans prévenir des unités Gprs et d’autres qui ne le sont pas, rien ne permettant de différencier les 2 modèles sur la boîte !
Evidemment, les vendeurs n’y comprennent rien et vous disent n’importe quoi, seule solution, essayer avant d’acheter (ce devrait être la règle !) pour voir si le sous-menu « gprs » apparaît dans le menu « internet ».
Certes, ce mobile est grand, et surtout assez gros, mais cela ne me gêne pas.
Mais il est surtout très complet, IR, Gprs, écran couleur, jeux « in-fusio » téléchargeables, mains-libres.
Malheureusement, mon exemplaire a un problème de micro, qui fait saturer quelque peu la voix de celui qui l’utilise.
Ca m’apprendra à vouloir acheter un mobile sans l’essayer, par peur de rater mon avion…
Malgré tout, avec 3 en UL et 4+ en DL, les résultats commencent à devenir très intéressants.

   
 

Le *Trium Aria fait encore un peu mieux, puisqu’il obtient 3 en UL et 5- en DL, ratant la note maximale du côté d’Olivier pour un rien, une petite distorsion ou une petite hachure de trop.
Vous vous rappelez de mon Trium Aria, celui-là même qui enchaînait les exploits lors de mes précédents GT. Peut-être a-t-il un peu « vieilli », car il n’est plus maintenant réellement au-dessus du lot… ;-)
Sa présence ici est de toutes manières plus anecdotique qu’autre chose, il ne se vend quasiment plus (ou alors dans sa version wap), son autonomie est misérable.
Mais avec son antenne externe extractible et son menu trace (comme sur tous les Trium, Eclipse compris, par les touches 4329 en gardant la touche * enfoncée), le vieux se porte bien, merci pour lui.

   
 

Un autre vieux, tiens : le *Siemens s35i. Mine de rien, le meilleur Siemens de ce GT (3+ en UL, 4- en DL).
Pour ne rien vous cacher, je ne voulais pas inclure ce s35i dans ce GT6. Trop vieux, dépassé, ou plutôt remplacé dans la gamme des mobiles Siemens.
Mais Olivier, agacé de le voir si haut placé dans mes anciens GT, alors que lui le considère comme proche de la daube absolue, a tenu à vérifier : merci Olivier, tu es venu, tu as vu, tu as perdu.
De mon côté, tous ceux à qui je l’ai recommandé à l’achat n’ont pas à s’en plaindre, il vieillit bien, faisant preuve d’une fiabilité de bon aloi.

   
 

Enfin, pour info, voici le *Benefon Q (3+ en UL 4+ en DL). Résultats remarquables pour ce petit mobile argenté très élégant. Je ne sais pas combien il s’en est vendu en France, probablement très peu, la 2ème marque finlandaise ne faisant pas beaucoup parler d’elle.
A signaler : micro un peu faiblard sur mon exemplaire.
Autonomie assez faible.

   
 

A propos des finlandais, abordons maintenant ce qui constitue probablement un des enseignements majeurs de ce GT6 : la présence à ce niveau de la quasi-totalité des mobiles Nokia.
Résultat excellent, remarquable d’homogénéité.

   
 

Depuis le 7110, Nokia n’a sorti que des mobiles à antenne intégrée, essuyant des critiques méritées avec son premier essai, le médiocre (mais quel succès !) 3210.
Sans oublier le plus catastrophique rapport sensibilité/prix de tous les temps, le mythique 8810.
Depuis, Nokia a corrigé le tir, et maîtrise vraiment remarquablement ce phénomène sur ses nouveaux mobiles.
Tir groupé, donc, avec au bas de l’échelle de cette catégorie le *6210 (UL : 3-, DL : 2+), v5.56, testé pour faire plaisir à Julien qui nous a offert gracieusement cet espace, et qui possède un beau 6210 customisé beauf j’vous raconte même pas (salut Juju !).
Le 6210 a été plus récemment remplacé dans la gamme par le très pro et très austère *6310 (UL : 3, DL : 3-), v 4.20, plus performant, en UL tout du moins, que le 6310i.

   
 

Puisque nous parlions d’antiquités il y a peu, signalons ici la présence du toujours fringuant *7110 (UL : 3, DL : 4), v5.01, idole suprême d’Olivier (il le regarde avec tant de tendresse, d’amour, de fierté, avec une pointe d’érection dans le regard, même son R520 Tems ne peut rivaliser).
Je le comprends un peu, moi aussi je l’aime bien, avec sa molette de navigation super pratique et son grand écran. Encore un must, n’a pas pris une ride, si ce n’est son embonpoint qui ne me dérange absolument pas.

   
 

Un autre papy, plus mince celui-là, le *8210 (UL : 3, DL : 4-), v5.31. Petit et mince, un best of, coques interchangeables, a connu pas mal de problèmes d’afficheur à changer ou de vibreur, mais ces pannes classiques et identifiées se réparent facilement en 5 minutes dans tout centre agréé qui se respecte, et donc chez l’excellent Stéphane dans sa caverne parisienne : Phonecall.

Pour celui qui n’a que faire du wap, de gprs, de bluetooth et du reste, il n’y a peut-être pas mieux qu’un bon vieux 8210 (netmonitorisé, of course).

   
 

A un même bon niveau de performances (3 en UL, 4+ en DL) se trouvent les « entrées de gamme » que constituent l’ancien *3330 et son remplaçant le *3510.
Ce dernier est même Gprs, mais sans IR…
Basiques peut-être, mais très satisfaisants en sensibilité, et avec une excellente qualité sonore. Un excellent choix, à un prix très compétitif, surtout pour le 3310.

   
 

Arrivent ensemble 2 mobiles plus sophistiqués, les 2 compères *6510 (v4.06) et *8310 (v5.11). Ils obtiennent les mêmes notes : 3+ en UL et en DL. Sous un habillage légèrement différents, ils sont à peu de choses près identiques, le 6510 ayant un écran bleu turquoise doté d’une meilleure définition, et d’un verrouillage automatique (temporisé) du clavier.
Ce sont des mobiles complets (manque Bluetooth), faciles à utiliser, petits, ergonomiques, sans faiblesse.

   
 

Bravo encore à Nokia pour ce remarquable succès d’ensemble.

   
   
Le trio de tête

Là, ça devient sérieux, on atteint la quintessence de la téléphonie mobile gsm.
On vole avec les aigles, on danse avec les loups…
Ce sont les élus, ils ont gagné leur paradis, pour l’éternité.

   
 

En 3ème position pointe le tout nouveau et très exclusif *Nokia 8910, v3.04. Remarquez, vu le prix qu’il ma coûté (1099 euros dans sa robe noire), ça me met du baume au portefeuille, en quelque sorte…
Il obtient les notes de 4 en UL, et 4- en DL.
J’ai oublié de vous préciser que pour chaque test effectué, le mobile était tenu « par le cul », c'est-à-dire avec les doigts très bas sur le corps du mobile, afin de créer le moins d’interférences possibles.
Le système d’accès au clavier du 8910 éloigne de ce fait, mécaniquement, encore plus la main de l’antenne du mobile. Est-ce la raison pour laquelle il a été, de mon côté, le plus performant des Nokia ?
Je ne sais pas, mais si c’est le cas, cela fait partie du jeu et c’est peut-être un système à imiter.

   
  En 2ème position, et j’en connais certains qui vont pousser un ouf de soulagement, voici le beau, le magnifique, l’inimitable *R520m avec antenne IAT-10 sortie.
Parce que, hein, il faut bien qu’elle serve à quelque chose, celle-là.
Ne vous inquiétez pas, elle sert, et remarquablement, même en indoor.
Qu’est ce que ce sera lors d’un prochain GT outdoor, vous imaginez !
Ah, j’oubliais les notes : 4+ en UL, et 5 (oui) en DL.

Pour info, et je n’ai pas voulu priver le 8910 de sa place sur le podium à cause d’un doublon, le *T39m muni d’une IAT-10 déployée (4- en UL, 4+ en DL).
Comme quoi, cette antenne fait (presque) tout…

   
 

Enfin, champion des champions, insurpassé (et insurpassable ?), le gigantesque, le titanesque, l’énoooooorme *E///R250s pro, muni de son antenne longue.
Quand je dis insurpassable, je me demande bien comment les équipementiers vont s’y prendre pour doter leurs mini-mobiles des qualités de sensibilité du monstre suédois.
Les lois de la physique étant ce qu’elles sont, ça ne va pas être facile…le challenge est intéressant.
Les notes : 5 en UL, 5 en DL.

   
   
   

Imaginez-vous, dans des conditions de test identiques, tel mobile ne permettra même pas de tenir une communication plus de 2 secondes, tel autre ne permettra aucun échange par faute de conditions trop dégradées, et un R250 pro permettra une conversation digne d’une ligne fixe…
Comme quoi, ils ne sont pas tous logés à la même enseigne, et c’est tant mieux, les GT ont encore de beaux jours devant eux…

   
   

Prochaine étape, réédition d’un grand tournoi en outdoor, c’est nécessaire et les résultats seront peut-être fort différents, c’est à voir…
Olivier a parcouru en long et en large chaque parcelle de mon terrain, à la recherche d’un canal suffisamment éloigné, mais en vain. Il n’a pu se livrer qu’à quelques mesures avec des mobiles netmonitorisés, en se calant sur la BTS qui allait bien, il vous en parlera certainement dans son CR. Mais pour l’organisation d’un GT outdoor, il faudra trouver mieux.
 

  On cherche, c’est promis.
   
  @+
Philippe
   
Accéder à « Introduction & Procédure de test »
   
   
  Retour aux Grands Tournois